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Un bébé n’est pas un jouet

C’est le temps des vacances, et donc les soirées nocturnes vont bon train. Que faire de son bébé quand on veut aller à la plage, en soirée dansante et alcoolisée, assister aux feux d’artifices, déambuler le long des brocantes et marchés, etc.

Tout simplement le laisser endormi, bien au calme car rien de tout cela n’est pour lui bien au contraire. Le bruit, les lumières, la fumée du tabac, les cris et rires, les pétards… tout lui fera peur et rien ne lui conviendra.

Le portage (dans le bon sens, svp) est recommandé, mais si joie partagée il y a. Nous voyons trop de nouveaux-nés et bébés dans des supers poussettes ergonomiques qui impliquent qu’on les laisse en général trop longtemps dans cet endroit.

Où aller alors ? A la plage tôt le matin ou tard le soir, dans la forêt, au bord d’une rivière, dans le jardin… Posez votre bébé à l’ombre, si les températures ne sont pas trop élevées, sur un petit matelas et tissu soyeux. Chantez-lui une berceuse. Allongez-vous près de lui et profitez ! C’est gratuit, c’est agréable, c’est bénéfique.

Le critère pour savoir si votre bébé est bien : moins il y a de bruits, de mouvements, de personnes, mieux il se portera !

 

 

 

Le manque d’amour mène à la maladie

From ExchangeEveryDay :

« Having had a difficult relationship with one’s parents is a greater risk factor for adult disease than smoking, obesity, and high blood pressure combined. » This dramatic claim was made by John Robbins in his best-selling book, Healthy at 100 (New York: Ballantine Books, 2007). To illustrate his point Robbins describes a study launched in the 1950s by Harvard University in which 125 randomly selected undergraduate students were quizzed about their relationships with their parents. 

« The students were asked, ‘What kind of person is your mother?’ and ‘What kind of person is your father?’ The researchers simply counted the number of positive and negative words the students wrote down in describing their parents…And it was immensely powerful. Fully 95 percent of the students who had used few positive words to describe their parents developed serious diseases in mid-life, whereas only 29 percent of those who had used many positive words developed comparable diseases. »

Robbins concludes by quoting surgeon Bernie Siegel who observed, « The greatest disease of mankind is lack of love for children. »

 

Le principe d’attachement

Le mauvais attachement mène-t-il à des soucis de l’individu devenu adulte ?

Sans vouloir être fataliste, on peut avancer qu’un attachement inapproprié  a un impact dans le développement de l’enfant. Certains bébés réagiront bien à cela d’autres beaucoup moins bien.

Notre mission auprès des enfants – donc des éducateurs – est d’expliquer ce principe de relation pendant la prime enfance afin de la prévoir la plus belle possible pour chaque partie concernée.
Les ateliers enfants/parents que nous avions proposés en 2013 avaient ces objectifs principaux d’établir une connexion avec la toute petite cellule familiale pour lui expliquer la relation d’attachement.


Un enfant né dans un océan d’amour, saura nager à tout jamais dans les vagues de cette immensité.
Car l’attachement, contrairement à ce qu’il semble dire, n’est pas un lien à vie, c’est une période qui va de la symbiose à l’indépendance de deux ou plusieurs êtres proches.

Le coeur d’un enfant c’est grand

babies

Le coeœur d’un enfant c’est grand

Des vaisseaux spatiaux s’y baladent
Et si leurs Mamans tombent malades
Elles guérissent en regardant dedans
On y voit des goélands
On y boit des rivières d’orangeade
En écoutant les galopades
D’un cheval pur-sang

Le cœoeur d’un enfant c’est grand

L’amour s’y déverse en cascade
L’ours blanc fait des glissades
Sur la seule neige du monde qui dure vraiment

Le coeœur d’un enfant c’est grand

Le temps s’y transforme en espace
Et l’espace en un instant
Peut dev’nir le temps qui passe
On croise un éléphant blanc
Deux indiens en embuscade
Un troupeau d’élans qui gambadent
Un cheval pur-sang

Le cœoeur d’un enfant c’est grand

On y voit la lune qui s’déplace
On y voit le bleu firmament
Dans l’cœoeur d’un enfant y a d’la place

Le cœoeur d’un enfant… c’est grand

Michel Jonasz

Artiste du jour

En tant que parents, nous avons tous un (ou plusieurs s’il s’agit d’une fratrie) « artiste du jour » en puissance.

Le nôtre est né il y a 24 ans et il est devenu, jour après jour, « artiste de chaque jour » puisqu’il a choisi de faire de l’Art son métier.

artiste du jourCe petit tableau, n’est pas resté sans vie, il a eu a coeur de le remplir régulièrement, de s’y exprimer et de nous partager de belles choses.

La belle école Montessori dans laquelle il a eu la possibilité d’être accueilli tel qu’il était a 3 ans, avec sa forte personnalité que les deux éducatrices ont respecté, a sa place dans son parcours de vie. Il s’en souvient encore !

I love you my son.
Murielle

S’aimer soi-même pour aimer les autres

Le jour où je me suis aimé pour de vrai
Poème de Kim Mc Millen

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris qu’en toutes circonstances, j’étais à la bonne place, au bon moment. Et, alors, j’ai pu me relaxer.

Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle … Estime de soi.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle, n’étaient rien d’autre qu’un signal lorsque je vais à l’encontre de mes convictions.

Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle … Authenticité.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de vouloir une vie différente et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive contribue à ma croissance personnelle.

Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle … Maturité.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation, ou une personne, dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment.

Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle … Respect.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à me libérer de tout ce qui ne m’était pas salutaire, personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait ça de l’égoïsme.

Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle … Amour Propre.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé d’avoir peur du temps libre et j’ai arrêté de faire de grand plans, j’ai abandonné les méga – projets du futur. Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime, quand ça me plaît et à mon rythme.

Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle … Simplicité.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de chercher à toujours avoir raison et me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé.

Aujourd’hui, j’ai découvert … l’Humilité.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir. Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe.

Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois, et ça s’appelle … Plénitude.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir, mais si je la mets au service de mon cœur, elle devient un allié très précieux.

Tout ceci c’est le Savoir Vivre !

Nous ne devons pas avoir peur de nous confronter.
Du chaos naissent des étoiles.

coeur