Archives de catégorie : Emotions
Le développement de l’embryon et du foetus en images reconstituées en 3D
Une fois n’est pas coutume, voici un lien vers un site qui propose des informations sur le développement du foetus durant les neuf mois de grossesse en images de synthèse très claires et colorées : https://www.babycenter.fr/c600091/d%C3%A9veloppement-de-b%C3%A9b%C3%A9
Montessori et Pikler en Australie et ailleurs…
Chronique de Bande dessinée « Ce n’est pas toi que j’attendais »
Les bandes dessinées sur la trisomie sont rares. Sur la parentalité, il y a de plus en plus d’albums peu originaux où l’homme raconte sa transformation en père, à travers des situations plus ou moins comiques.
Ici, l’événement qui est décrit nous amène à nous poser de vraies questions.
L’auteur devient le père d’un enfant trisomique, ce qui bouleverse sa conception de la vie, des apparences, des préjugés, de la beauté… Combien de temps mettra-t-il à accepter ce bébé ? Est-ce que cet enfant pourra un jour être autonome et si oui, quand ?
C’est certain : Fabien Toulmé sait raconter une histoire. Il accouche d’un récit poignant, drôle, bouleversant. On s’imagine être à sa place, on réfléchit sur la vie, sur le destin, sur ce qui est certain, ce qui ne l’est pas.
L’auteur passe pas plusieurs phases, alors que sa conception de la vie se heurte à la réalité et que plusieurs courants s’affrontent dans sa tête : anxiété, tristesse, énervement, jalousie envers les parents ayant eu un enfant dit « normal »…
« Est-ce qu’un jour je l’aimerai comme ma fille ? », « Est-ce que j’arriverai à la voir autrement que comme une trisomique ? » « Est-ce que je serai un bon père pour elle ? » se demande-t-il. On est happé par le récit et l’intensité du sujet.
En revanche, le livre n’est pas aussi percutant lors d’une deuxième lecture, où l’on voit plus facilement les défauts : il y a une dizaine de pages en trop, le dessin est parfois approximatif (les nez de certains personnages sont bizarres) et on a l’impression générale que l’auteur se plaint tout le long de ce qui lui est arrivé.
Mais ne passez pas à côté. Ce livre a bousculé la vie de l’auteur, il vous bousculera aussi.
Samson
Nouveau livre Montessori pour les bébés, chez le libraire (et amazon)
J’avais acheté il y a quelques années, sur amazon votre première version du livre Montessori pour les bébés. Même si son prix était élevé, je n’avais pas été déçue par le contenu. Aujourd’hui je découvre dans la galerie culturelle de mon supermarché, la toute nouvelle version avec un format et des couleurs de mise en page toutes belles, je l’ai achetée immédiatement pour l’offrir à une amie. Merci de votre constance et vive les bébés !
Amandine
Réparer les blessures émotionnelles
Tous les enfants, même les plus chanceux, subissent des blessures émotionnelles. À la maison, à l’école, dans les parcs, tous les enfants éprouvent la déception, la frustration et l’échec, la critique et la désapprobation, l’exclusion. Dans chaque famille, il y aura les moments de colère et de disputes.
Si leur développement est sain, les enfants se remettent de ces moments. Seuls ou avec notre aide, la plupart des enfants rebondissent. Des blessures émotionnelles sont, à bien des égards, analogues aux dommages corporels. Comme nos cellules réparent en permanence les dommages corporels, les blessures émotionnelles doivent aussi être guéries. Sans cette guérison, le processus nuisible s’étendra.
En tant que parent notre rôle minimum est d’avoir une reconnaissance simple de la déception ou frustration de notre enfant.
Les enfants tirent des leçons inestimables des moments de la réparation, post traumatiques aux émotions. Ils apprennent que, bien que ce ne soit pas toujours facile, l’anxiété, la tristesse et la colère sont des moments qui peuvent être réparés.
Attention, se focaliser sur les émotions de l’enfant ne suffit pas à éduquer. C’est un être global et on ne peut réparer les émotions si les autres enveloppes (voir la définition dans le livre la pédagogie montessori illustrée) de l’enfant ne vont pas bien.
Un film très émouvant sur le polyhandicap chez l’enfant
Ce matin, je vous propose ce partage de témoignage familial :
http://latelelibre.fr/reportages/la-jumelle-differente/
Un nouveau livre au sujet des bébés en stock dans 115 librairies !
Cliquez sur le lien pour aller chercher ce livre dans la librairie la plus proche de chez vous !
Le manque d’amour mène à la maladie
From ExchangeEveryDay :
« Having had a difficult relationship with one’s parents is a greater risk factor for adult disease than smoking, obesity, and high blood pressure combined. » This dramatic claim was made by John Robbins in his best-selling book, Healthy at 100 (New York: Ballantine Books, 2007). To illustrate his point Robbins describes a study launched in the 1950s by Harvard University in which 125 randomly selected undergraduate students were quizzed about their relationships with their parents.
« The students were asked, ‘What kind of person is your mother?’ and ‘What kind of person is your father?’ The researchers simply counted the number of positive and negative words the students wrote down in describing their parents…And it was immensely powerful. Fully 95 percent of the students who had used few positive words to describe their parents developed serious diseases in mid-life, whereas only 29 percent of those who had used many positive words developed comparable diseases. »
Robbins concludes by quoting surgeon Bernie Siegel who observed, « The greatest disease of mankind is lack of love for children. »
Le principe d’attachement
Le mauvais attachement mène-t-il à des soucis de l’individu devenu adulte ?
Sans vouloir être fataliste, on peut avancer qu’un attachement inapproprié a un impact dans le développement de l’enfant. Certains bébés réagiront bien à cela d’autres beaucoup moins bien.
Notre mission auprès des enfants – donc des éducateurs – est d’expliquer ce principe de relation pendant la prime enfance afin de la prévoir la plus belle possible pour chaque partie concernée.
Les ateliers enfants/parents que nous avions proposés en 2013 avaient ces objectifs principaux d’établir une connexion avec la toute petite cellule familiale pour lui expliquer la relation d’attachement.
Un enfant né dans un océan d’amour, saura nager à tout jamais dans les vagues de cette immensité.
Car l’attachement, contrairement à ce qu’il semble dire, n’est pas un lien à vie, c’est une période qui va de la symbiose à l’indépendance de deux ou plusieurs êtres proches.