Une école Montessori pour les enfants défavorisés

http://www.rtl.be/info/vous/temoignages/marie-paule-une-enseignante-belge-a-fonde-une-ecole-montessori-a-kinshasa-pour-aider-les-enfants-defavorises-le-comportement-de-certains-eleves-a-921770.aspx

 

Nouveau livre Montessori pour les bébés, chez le libraire (et amazon)

J’avais acheté il y a quelques années, sur amazon votre première version du livre Montessori pour les bébés. Même si son prix était élevé, je n’avais pas été déçue par le contenu. Aujourd’hui je découvre dans la galerie culturelle de mon supermarché, la toute nouvelle version avec un format et des couleurs de mise en page toutes belles, je l’ai achetée immédiatement pour l’offrir à une amie. Merci de votre constance et vive les bébés !

Amandine

Réparer les blessures émotionnelles

Tous les enfants, même les plus chanceux, subissent des blessures émotionnelles. À la maison, à l’école, dans les parcs, tous les enfants éprouvent la déception, la frustration et l’échec, la critique et la désapprobation, l’exclusion. Dans chaque famille, il y aura les moments de colère et de disputes.

Si leur développement est sain, les enfants se remettent de ces moments. Seuls ou avec notre aide, la plupart des enfants rebondissent. Des blessures émotionnelles sont, à bien des égards, analogues aux dommages corporels. Comme nos cellules réparent en permanence les dommages corporels, les blessures émotionnelles doivent aussi être guéries. Sans cette guérison, le processus nuisible s’étendra.

En tant que parent notre rôle minimum est d’avoir une reconnaissance simple de la déception ou frustration de notre enfant.

Les enfants tirent des leçons inestimables des moments de la réparation, post traumatiques aux émotions. Ils apprennent que, bien que ce ne soit pas toujours facile, l’anxiété, la tristesse et la colère sont des moments qui peuvent être réparés.

Attention, se focaliser sur les émotions de l’enfant ne suffit pas à éduquer. C’est un être global et on ne peut réparer les émotions si les autres enveloppes (voir la définition dans le livre la pédagogie montessori illustrée) de l’enfant ne vont pas bien.

La confusion entre « jouet », « jeu », « activité » et « objet »

Un peu de classification ne fait jamais de mal !

Aujourd’hui, je vous invite à réfléchir sur la signification des mots : jeu, jouet, objet et activité. Car dans notre livre « Montessori pour mon bébé », qui vient de sortir en librairie rappelons-le, nous parlons des uns et pas des autres.

Selon Mmes Montessori et Pikler, l’enfant ne joue pas, ni seul, ni avec d’autres individus. Il expérimente, construit sa compréhension de l’univers dans lequel il grandit à chaque souffle de vie, souffle qui le pousse à devenir un être indépendant.

C’est pourquoi le choix de l’environnement, et donc des objets qu’il contient est important dans la démarche d’aide de l’enfant à grandir.

Dans notre livre, nous avons pris soin de partager des photos en couleur de grande qualité de vrais objets utilisés dans de vrais environnements préparés dans ce but. C’est en cela, entre autre, qu’il est attrayant et nouveau !

Pikler en complément de Montessori

Pourquoi la démarche Pikler en plus de la philosophie Montessori ?

Tout simplement parce que Mme Montessori avait eu pour mission de s’occuper des enfants de plus de 5 ans et non pas des plus jeunes; elle a très naturellement orienté son travail dans la direction du développement de l’enfant plus âgé.
Nous avons donc comblé les manques dans les principes de base de la pédagogie Montessori par des applications concrètes et bienveillantes de Mme Pikler,  et c’est ce que nous proposons à nos lecteurs (et aussi à nos stagiaires).

« Parce que tout ne commence pas à 3 ans, mais bien avant » Murielle Lefebvre

Un nouveau livre au sujet des bébés en stock dans 115 librairies !

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Le manque d’amour mène à la maladie

From ExchangeEveryDay :

« Having had a difficult relationship with one’s parents is a greater risk factor for adult disease than smoking, obesity, and high blood pressure combined. » This dramatic claim was made by John Robbins in his best-selling book, Healthy at 100 (New York: Ballantine Books, 2007). To illustrate his point Robbins describes a study launched in the 1950s by Harvard University in which 125 randomly selected undergraduate students were quizzed about their relationships with their parents. 

« The students were asked, ‘What kind of person is your mother?’ and ‘What kind of person is your father?’ The researchers simply counted the number of positive and negative words the students wrote down in describing their parents…And it was immensely powerful. Fully 95 percent of the students who had used few positive words to describe their parents developed serious diseases in mid-life, whereas only 29 percent of those who had used many positive words developed comparable diseases. »

Robbins concludes by quoting surgeon Bernie Siegel who observed, « The greatest disease of mankind is lack of love for children. »

 

Le principe d’attachement

Le mauvais attachement mène-t-il à des soucis de l’individu devenu adulte ?

Sans vouloir être fataliste, on peut avancer qu’un attachement inapproprié  a un impact dans le développement de l’enfant. Certains bébés réagiront bien à cela d’autres beaucoup moins bien.

Notre mission auprès des enfants – donc des éducateurs – est d’expliquer ce principe de relation pendant la prime enfance afin de la prévoir la plus belle possible pour chaque partie concernée.
Les ateliers enfants/parents que nous avions proposés en 2013 avaient ces objectifs principaux d’établir une connexion avec la toute petite cellule familiale pour lui expliquer la relation d’attachement.


Un enfant né dans un océan d’amour, saura nager à tout jamais dans les vagues de cette immensité.
Car l’attachement, contrairement à ce qu’il semble dire, n’est pas un lien à vie, c’est une période qui va de la symbiose à l’indépendance de deux ou plusieurs êtres proches.